J'ai entendu parler de Niki de Saint Phalle pour la première fois il y a deux ans grâce à ma collègue d'arts plastiques. J'ai vu quelques-unes de ses oeuvres sur internet et quand ma soeur m'a proposé d'aller voir l'expo qui lui est consacrée j'ai tout de suite dit OK!
Titre: Niki de Saint Phalle
Lieu: Le Grand Palais, 3 Avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris
Dates: Du 17 septembre 2014 au 2 février 2015
L'expo est sur deux étages. On commence par le premier avec les salles "Peindre la violence", "Napoléon en jupons", "Une nouvelle société matriarcale", "Le Nana Power" et "Mère dévorante / Père prédateur". Puis on finit par le rez-de-chaussée avec "L'art à la carabine", "Le rêve de Diane" et "Le grand public est mon public". Autant dire que les thèmes sont variés! On y découvre une Niki de Saint Phalle (1930-2003) au caractère bien trempé, féministe de la première heure, écorchée vive, inspirée par sa double culture (France / États-Unis).
Pourquoi ai-je aimé cette expo?
Ouh la la, par où commencer? Je n'ai pas un côté féministe très prononcé mais ça ne m'a pas empêché d'entrer de plein fouet dans son univers! Ce superbe mannequin ayant fait la couverture de Vogue, abusée par son père à l'âge de onze ans, a le besoin viscéral de faire sortir toute la violence qui est en elle. Dès la première salle on note deux mondes qui s'affrontent dans les toiles exposées: l'enfance et la violence. Au fil des salles, des techniques et des supports utilisés, on découvre les différentes facettes de la personnalité de Niki de Saint Phalle. Les vidéos qui passent en boucle montrent la force et la détermination de cette femme indépendante et profondément "créatrice". Les "Nanas" sont magistrales, les oeuvres destinées aux jardins de Toscane sont impressionnantes, mais la salle qui m'a le plus marquée est celle de "L'art à la carabine". Elle renferme des oeuvres dont la technique, totalement ahurissante, a fait d'elle la "Calamity Jane de la peinture"!
Ouh la la, par où commencer? Je n'ai pas un côté féministe très prononcé mais ça ne m'a pas empêché d'entrer de plein fouet dans son univers! Ce superbe mannequin ayant fait la couverture de Vogue, abusée par son père à l'âge de onze ans, a le besoin viscéral de faire sortir toute la violence qui est en elle. Dès la première salle on note deux mondes qui s'affrontent dans les toiles exposées: l'enfance et la violence. Au fil des salles, des techniques et des supports utilisés, on découvre les différentes facettes de la personnalité de Niki de Saint Phalle. Les vidéos qui passent en boucle montrent la force et la détermination de cette femme indépendante et profondément "créatrice". Les "Nanas" sont magistrales, les oeuvres destinées aux jardins de Toscane sont impressionnantes, mais la salle qui m'a le plus marquée est celle de "L'art à la carabine". Elle renferme des oeuvres dont la technique, totalement ahurissante, a fait d'elle la "Calamity Jane de la peinture"!
Maintenant réservez vos billets "coupe-file"!
Bon, l'article a achevé de me convaincre d'y aller!!! Décidément, quel talent ! Merci Steph ;-))
RépondreSupprimerFlo
Contente que tu y ailles! J'ai hâte que tu me donnes tes impressions!! N'oublie pas de prendre un billet "coupe-file"...
SupprimerBonne expo ;)
Steph