Avant de partir en vacances je me suis demandée quels romans j'allais mettre dans ma valise... Il y a eu La vérité sur l'affaire Harry Quebert, Du sang sur Rome, Les Rois Maudits tome 4 et celui qui nous intéresse aujourd'hui Nous étions les hommes.
Gilles Legardinier s'est lancé dans l'écriture en 2010 avec un thriller Prix du Polar SNCF 2010 L'exil des Anges. Il a ensuite écrit Nous étions les hommes en 2011 avant de se consacrer à la comédie avec Demain j'arrête, Complètement cramé, Et soudain tout change et dernièrement Ça peut pas rater! (Voir mon article du 23 janvier 2015: http://maboiteabulles.blogspot.fr/2015/01/ca-peut-pas-rater-gilles-legardinier.html)
On attend avec impatience son nouveau roman le 1er octobre 2015 intitulé Quelqu'un pour qui trembler.
On attend avec impatience son nouveau roman le 1er octobre 2015 intitulé Quelqu'un pour qui trembler.
Alors l'histoire!
"Imaginez qu'aujourd'hui, en ayant la connaissance
de notre parcours de civilisation,
vous ayez le pouvoir de retourner dans le passé
pour empêcher les hommes de découvrir une seule chose.
Laquelle choisiriez-vous de leur supprimer?"
Scott Kinross dirige le service de recherche clinique de neurologie au Royal Edimbourg Hospital, il est spécialisé dans les maladies neurodégénératives. Il travaille sur la maladie d'Alzheimer en étroite collaboration avec une généticienne directrice des recherches au Roslin Institute en Ecosse dénommée Jenni (avec un -i!) Cooper. Quand elle appelle Scott pour lui énoncer sa nouvelle théorie, il sait qu'elle vient de mettre le doigt sur "une bombe". Une découverte qui risque de révolutionner le monde et d'intéresser des gens peu scrupuleux. Mais ils ne sont pas au bout de leurs surprises...
Pourquoi ai-je aimé ce roman?
- Les deux personnages principaux, Scott Kinross et Jenni Cooper, sont très attachants. Il y a un lien particulier entre eux... J'aimerais bien les retrouver dans une suite ;))
- On n'est pas au bout de nos surprises avec toutes ces innovations médicales...!!!
- Il y a juste ce qu'il faut de violence pour que ce thriller reste lisible par le plus grand nombre. Le suspect m'a tenu éveillée très tardivement... Gilles Legardinier divise toujours ses romans en petits chapitres (ici 90 chapitres pour 469 pages) et à chaque fin de chapitre il annonce le suivant, il est donc très difficile de poser son livre et d'éteindre la lumière...!
- La maladie d'Alzheimer, un sujet lourd traité avec beaucoup d'humanité.
- Un bémol: j'aurais aimé en savoir un peu plus sur l'exploitation minière où avait été retrouvée Eileen... Il y a à nouveau beaucoup de personnages et d'histoires qui s'entremêlent, on a l'impression de juste les frôler alors qu'on aimerait les connaître un peu plus tellement ils sont bien présentés...
Pour commencer...
"Il faisait nuit, un peu froid. Terrée dans sa cachette, Eileen avait attendu des heures avant de sortir, mais à présent elle n'avait plus le choix..."
Maintenant filez à la librairie! Bonne lecture!
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